J'ai revu avec grand plaisir la vie d'un tatoué, de Seijun Suzuki. A une époque, fasciné par la marque du tueur, le premier film de Suzuki que je voyais, je m'étais rué sur tout ce que je trouvais du cinéaste, frôlant l'indigestion. Des années plus tard, j'y reviens, doucement, c'est bien meilleur. J'ai acheté une bonne bouteille de Whisky, subtly sweet yet smoky... En apprécierais-je encore la saveur après cinq verres d'affilée? Étonnant, ce Seijun Suzuki...
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