De quoi parler? Que dire? Je ne me pose même plus la question du qui lira, car je ne vois pas comment on pourrait tomber sur cette page, sinon par hasard. Et si j'écrivais mon nom, comme ces types qui gravent leur nom sur un mur de prison, ou sur un tronc? Comme ça, peut-être, si quelqu'un tape un jour mon nom dans un moteur de recherche, il tombera sur cette page, et alors ce ne sera pas par hasard. Jean-Charles Freycon, mon nom, oui, c'est ainsi, je n'ai pas choisi. Alors, je n'ai rien à dire, toi qui viens de taper mon nom dans un moteur de recherche, c'est juste comme ça... que je fais ça. Ça quoi? Je ne sais même pas. Peut-être qu'en secret je cherche à t'amuser, à te plaire.
8 commentaires:
A JCF : Comme quoi tout arrive, je suis effectivement passé par un moteur de recherche :-)
Salutations, Sullivan (du DVDBLog tatavien)
Salutations aussi, alors, Sullivan...
Je vous lis depuis plusieurs jours et c'est un vrai plaisir que d'aller d'un texte à l'autre, au gré des envies, des humeurs. Nous avons de très nombreux goûts cinématographiques en commun... notamment pour n'en citer qu'un petit échantillon, le cinéma japonais, Martha Ivers, Stanwyck ou Fuller. Anecdotiquement, j'ai même pratiqué l'aïkido par le passé, mais n'ai en revanche jamais soufflé dans un sax, le basson m'ayant servi de support d'expression il y a bien longtemps maintenant, lors de mon service militaire. Quel pied la série des mouchette ! Paix à son âme. Et merci pour toutes ces pensées, tous ces textes, qui mériteraient pour nombre d'entre eux d'être édités ! Vous laissez de bien belles traces, cela voudrait-il dire que vous ne marchez pas bien ? Sullivan
Ah... vous êtes sympa, Sullivan. En même temps, je vous trouvais déjà sympathique avant votre venue ici. Merci, alors.
Jean-Charles, j'ai tapé aujourd'hui ton nom sur un moteur de recherche, ce n'était donc pas un hasard, je suis tombé sur toi (j'espère que tu n'as rien senti) et je t'ai lu pendant deux ou trois heures. Plutôt trois d'ailleurs. Peut-être, comme dis-tu, as tu cherché à me plaire (je ne l'ai pas vraiment senti comme ça) mais ta manière nue de dire ta (et nôtre) vérité ne m' a pas parue encombrée du souci de séduire qui que ce soit, même secrètement. C'est ce qui m'a séduit. Et beaucoup d'autres choses. En tout cas, je suis heureux, au bout de trois jours, d'avoir vraiment démarré l'année grâce à toi.
Jérôme de Toulouse
PS: j'ai beaucoup rigolé grâce au texte évoquant ta visite chez A.
Ah... Jérôme... merci...
Aujourd'hui, j'ai eu le plaisir de te voir. Mais je ne t'ai pas abordé, supposant peut-être à tort que cela t'aurais importuner, mis mal à l'aise, alors, je me suis abstenu, un peu triste. Mais à l'instant, après le visonnage de "la minute nécessaire", je souris... et j'imagine qu'elle la mange. Bien à toi Jean-Charles.
Et qui t'es toi d'abord? (Pas compris : Qu'elle mange quoi?)
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